Bordeaux s’apprête à dévoiler son cahier des charges pour le vin claret
Bordeaux est sur le point de faire parler de lui avec un nouveau chapitre dans l’univers viticole : le fameux cahier des charges pour le vin claret. Validé par l’Inao, ce document tant attendu ne demande qu’à être signé par la ministre afin d’officialiser les lignes directrices pour les vignerons souhaitant explorer ce style unique. Préparez vos verres, la nouvelle manière de déguster le claret arrive à grands pas !
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EN BREF
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Bordeaux, célèbre région viticole, se prépare à dévoiler son tout nouveau cahier des charges spécifiquement dédié à la production de vin claret. Approuvé par l’INAO, ce document incontournable attend la signature de la ministre pour entrer en vigueur. Une étape attendue par les vignerons qui aspirent à produire ce vin particulier, gage de qualité et d’authenticité.
Les modalités de production du claret
Les vignerons devront naviguer entre diverses réglementations à l’heure de produire du claret. Actuellement, jusqu’à la sortie officielle du cahier des charges, ils doivent se conformer aux normes en vigueur pour les bordeaux rouges. Une fois le nouveau document publié, ces lignes directrices spécifiques au claret prendront le relais, apportant avec elles un cadre plus adapté à ce type de vin.
Les caractéristiques distinctives du claret
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Étiquetage et contrôle de la qualité
Les exigences en matière d’étiquetage seront également strictes, avec l’obligation d’indiquer la mention claret sur chaque bouteille. Aucune dérogation ne sera admise. Pour garantir la conformité avec les standards du syndicat, tous les lots seront soumis à des contrôles rigoureux avant leur commercialisation.
Les propriétés chimiques du claret
Quand il s’agit de production, les critères quantitatifs seront minutieusement définis. La teneur en sucres résiduels ne devra pas dépasser 7 g/l, tandis que les bordeaux traditionnels seront limités à 3 g/l. De plus, le taux de volatilité sera fixé à 0,65 g/l H2SO4 pour le claret, en comparaison avec 0,98 pour un bordeaux, afin de préserver la légèreté de ce vin.
Des ajustements en attente
Des discussions sont en cours concernant une demande d’édulcoration qui n’a pas encore été validée. Un groupe de travail national réfléchit à cette question, illustrant ainsi l’engagement des acteurs du secteur dans l’amélioration continue de la qualité des vins claret.
Anticipations et attentes du secteur
Les vignerons sont en émoi à l’idée de voir ce cahier des charges se concrétiser. L’anticipation grandit autour de ce nouveau document qui permettra de valoriser davantage un vin spécifique. À la fois traditionnel et moderne, le claret pourrait bien devenir un indispensable des tables gastronomiques.
- Nouveau cahier des charges pour encadrer la production de vin claret.
- Teneur en sucres résiduels maximale de 7 g/l, contre 3 g/l pour le bordeaux.
- Contrôle obligatoire de tous les lots avant mise en bouteille.
- La mention claret sera imposée sur les étiquettes.
- Taux de volatile limité à 0,65 g/l H2SO4 pour ce type de vin.
- Un groupe de travail se penche sur l’édulcoration des produits, sans validation actuelle.
Cahier des charges du claret à Bordeaux
Bordeaux se prépare à faire un grand pas en avant avec la création d’un cahier des charges unique pour le vin claret. Ce nouveau cadre, déjà validé par l’INAO, est en attente de la signature de la ministre. Ce processus est prometteur pour les vignerons de la région, qui espèrent des directives claires avant la fin du mois de septembre.
Actuellement, les producteurs qui souhaitent se lancer dans l’élaboration de claret doivent encore respecter les règles du cahier des charges des bordeaux rouges. À l’avenir, dès que la publication officielle sera faite, une série de nouvelles spécificités s’appliqueront, comme le taux de sucres résiduels maximal fixé à 7 g/l, contrastant avec les 3 g/l pour le bordeaux classique.
La vinification du claret a également quelques exigences uniques, comme l’absence d’obligation de fermentation malolactique, et un taux maximum de volatile de 0,65 g/l H2SO4, inférieur à celui du bordeaux qui est de 0,98 g/l. L’objectif est de garantir une qualité optimale et une différenciation claire entre ces types de vins.
Un autre point essentiel sera l’étiquetage. La mention « claret » devra apparaître obligatoirement sur les bouteilles, et tous les lots seront soumis à un contrôle rigoureux avant leur mise sur le marché. Cela témoigne de l’engagement des producteurs à respecter les standards de qualité souhaités, tout en favorisant l’identité unique de ce vin. Un groupe de travail est déjà en place pour examiner des demandes d’édulcoration, mais aucune validation n’a encore été obtenue.