À la découverte d’une œnologue argentine qui mise sur le vin du Finistère

Embarquez pour un voyage fascinant au cœur de l’œnologie en découvrant une talentueuse œnologue argentine qui s’est aventurée jusqu’aux magnifiques cieux du Finistère. Laura Le Goïc-Chauqué, forte de son expérience et de sa passion du vin, se lance dans un défi audacieux : produire des nectars uniques sur ces coteaux bretons. Mêlant savoir-faire traditionnel et audace créative, elle transforme cette terre de vin en un véritable jardin d’expérimentations.

EN BREF Laura Le Goïc-Chauqué : une œnologue originaire d’Argentine Rêve de produire vin dans le Finistère Plantation de 20 000 pieds de vigne sur les coteaux de Querrien Pari audacieux : défis liés au climat et au terroir Rencontre avec une œnologue passionnée et déterminée Introduction à un vignoble hors du commun

• Passion pour la viticulture : Une œnologue argentine s’engage dans la production de vin dans le cadre unique du Finistère.
• Innovations à Querrien : Implantation de 20 000 pieds de vigne sur des coteaux adaptés aux cépages locaux.
• Expérience : Rencontre avec une professionnelle aguerrie qui apporte un savoir-faire argentin au terroir breton.
• Écologie : Utilisation de pratiques durables pour préserver l’environnement tout en faisant du vin de qualité.
• Diversité aromatique : Exploration des variétés qui enrichissent le paysage viticole et les papilles.

Œnologue Argentine : Un Vent Nouveau pour le Vin du Finistère

La passion pour le vin ne connaît pas de frontières, et l’histoire de Laura Le Goïc-Chauqué en est une preuve éclatante. Originaire d’Argentine, cette œnologue dynamique a fait le choix audacieux de s’installer en France, plus précisément dans le Finistère. Avec un désir ardent de produire des vins qui reflètent le terroir local, elle a planté environ 20 000 pieds de vigne sur les coteaux de Querrien, un projet ambitieux qui commence à porter ses fruits. Ses vignes, cultivées avec soin, visent à offrir des vins uniques qui conjugueront tradition et innovation.

Son parcours n’est pas courant. Il reflète l’esprit pionnier et l’audace d’une femme qui apporte un souffle nouveau à la viticulture bretonne. Laura ne se contente pas de reproduire les techniques argentines, mais adapte sa connaissance des cépages et des arômes aux spécificités du terroir breton. Cette approche personnalisée pourrait bien permettre de créer des vins inédits, révélant des saveurs inexplorées dans cette région préservée.

Les défis sont nombreux, notamment le climat et le sol. Laura aborde ces obstacles avec une approche pragmatique, tirant parti des leçons de son pays d’origine tout en respectant la riche biodiversité du Finistère. Ce projet est emblématique d’une nouvelle ère pour le vin en France, où des initiatives comme celle-ci rencontrent un écho favorable chez les amateurs de vin curieux.

Avec l’argile et le calcaire de Querrien, Laura réinvente l’univers vinicole breton. Ses ambitions sont à la fois simples et exaltantes : produire des vins authentiques, dont les arômes et les saveurs raconteront l’histoire du Finistère et son riche patrimoine viticole.